La loi de Parkinson… ou les gaz parfaits… veut que “le travail s’étale de façon à occuper le temps disponible pour son achèvement”. Qui dans un projet classique n’a pas vécu cette expérience étrange ? Donnez 3 jours à un “réalisateur”, il consomme les 3 jours pour réaliser ses tâches, donnez lui 10 jours, c’est 10 jours qu’il utilisera… Oui on évite cela avec Scrum au passage ou plus globalement avec l’agile, mais fallait-il le préciser ? Je vous laisse déguster l’explication éminement efficace de Uderzo & Goscinny dans Astérix en Corse.
Merci encore à Frédéric S. pour son inspiration, ce gars fourmille d’idées farfelues et donc drôlement intéressantes.
