Attention et constellation
Et si vous arrêtiez d’écouter pour être attentif ? Attentif à ce qui se passe autour. La prédominance de l’écoute dans le discours des coachs, consultants, gurus et autres est exagérée. En réalité cela pourrait autant m’amuser que m’user. Est-ce qu’il s’agirait parfois plus d’une posture que d’une réalité ? Note à soi-même : nonobstant c’est assez reposant comme posture. L’observation de réalité par des chercheurs indique que finalement très peu de choses passent par les mots, par l’écoute des mots, par le sens des mots ?
Il était une fois scrum 3
Dernier épisode de cette petite histoire de scrum, variation sur un thème bien connu. Notre itération avance. Nous arrivons le vendredi de la deuxième semaine. L’après-midi c’est la revue que l’on appelle aussi la démo, mais on ne fait pas une démo, on fait la revue du travail réalisé, c’est différent, donc je préfère revue. Non pardon : pas du travail réalisé, du travail fini. Fini : testé, validé, qui respecte la définition de fini et qui a été validé par le product owner.
Il était une fois scrum 2
Voici la suite de cette petite histoire de Scrum, qui je le rappelle est sans ambition : une façon de raconter Scrum, une variation sur un thème. Nous avons démarré l’itération lors de notre précédente histoire (Il était une fois Scrum #1). Bref nous sommes dans la gadoue, au milieu du maul (car c’est bien d’un maul dont voulaient parler les japonais qui observaient un match de rugby et faisaient une métaphore avec leur dynamique d’équipe, et pas d’une mếlée (scrum)).
Il était une fois scrum 1
Pour un client, récemment, j’ai écrit la petite histoire de Scrum. Juste une retranscription de mon discours lors de mes présentations. C’est sans ambition, quelques pages, et ma façon de procéder. Pour avoir quelque chose de plus solide, lire le livre de Claude, qui j’en sûr trouvera des variations ici. Dragos aussi ne fait pas exactement la même chose. Mais avec ces deux là je m’accorde assez pour savoir que ces variations demeurent des détails. En tous cas vous pouvez tous avoir vos variations sur ce thème. Disons que je trouvais dommage d’avoir écrit cela et de ne pas le publier… voici donc ces quelques petits articles sans ambition pour démarrer avec scrum.
*What the fuck* et Barbouzarde
Pour ceux qui en ont ras la casquette. Deux derniers formats de rétro pour la route avant le prochain raid (septembre 2016) : le “what the fuck” (c’est quoi ce bordel ?), et la barbouzarde inspirée par le magnifique film de George Lautner, aux sublimes dialogues de Michel Audiard, Les Barbouzes. Attention de bien utiliser ces rétros avec une bonne attitude et une bonne intention, de mettre en évidence un cadre protégé. Il ne s’agit pas d’attiser les animosités, mais de s’amuser avec un format différent. Attitude : restez souriant, ouvert, amusez vous de vos frustrations, intention : soyez là pour faire avancer le schlimblick, apprenez, restez ouvert à tous.
Deux nouveaux formats de rétrospective
Je ne sais pas trop, j’ai une sorte de frénésie d’écriture. Un nouveau thème hier, un article hier, un autre aujourd’hui, probablement d’autres à suivre dans la semaine. Une maladie mentale sans aucun doute. Enfin, voici deux formats de rétrospective que nous allons essayer durant cette semaine (que nous avons essayé, j’amende l’article). Le bestiaire des contes et légendes Comme beaucoup j’ai fait des jeux de rôles (JRTM, Donjons & Dragons, Légendes celtiques, etc.), même grandeur nature, j’ai lu J.R.R Tolkien, George Martin ou Andrzej Sapkowski, mais aussi Astérix, ou Thorgal ou Jon le Chninkel. Voici donc un cadre pour faire une rétrospective avec le bestiaire de nos contes et légendes.
Les estimations ne sont pas uniquement liées à la complexité, bordel
C’est dimanche, et je sors d’un repas de (belle)-famille. J’ai donc besoin d’exterioriser une pression intérieure. Merci de m’assister dans cette tâche. j’entends trop souvent dire que les estimations sont liées à la complexité. C’est trop limitatif. Dans notre monde mouvant il faut agir au plus juste. Enfin surtout dans nos entreprises où un constant rapport entre l’effort et la valeur est de mise (et si on peut juger de cette valeur au plus vite, on saura mesurer au mieux notre effort).