Epiphanie organisationnelle

L’épiphanie (du grec ancien ἐπιφάνεια, epiphaneia, « manifestation, apparition soudaine ») est la compréhension soudaine de l’essence ou de la signification de quelque chose. Le terme peut être utilisé dans un sens philosophique ou littéral pour signifier qu’une personne a « trouvé la dernière pièce du puzzle et voit maintenant la chose dans son intégralité », ou a une nouvelle information ou expérience, souvent insignifiante en elle-même, qui illumine de façon fondamentale l’ensemble. Les épiphanies en tant que compréhensions soudaines ont rendu possible des percées dans le monde de la technologie et des sciences. Une épiphanie célèbre est celle d’Archimède, qui lui inspira son fameux Eurêka ! (J’ai trouvé !), raconte wikipedia.

Le cadre de l'holacratie

Cet article a pour objectif de donner une petite perspective sur l’holacratie, la gothamocratie, la sociocratie, ou tout simplement sur une façon actuelle qui me séduit particulièrement pour accompagner les organisations. J’avais déjà pu écrire que je pensais plutôt du bien de cette approche ici (Hellocratie, Holocratie, Holacratie, Honolulucratie). Elle n’est pas nouvelle, mais elle synthétise bien, dans la lecture que j’en fais, les éléments auxquels je crois dans le but de faire grandir son organisation. Je pense qu’en complément de mes articles, ceux de Géraldine donnent une dimension opérationnelle, je vous recommande donc d’aller lire le blog de cette coach. L’objectif de mon article est de permettre de démarrer en holacratie, en sociocratie, etc. en s’assurant d’avoir saisi quelques fondamentaux.

Le coin des râleurs

Voici les quelques mots que j’ai arraché à mon fils concernant sa semaine à Paris avec moi (pour son stage de 3ème). Après sa soeur… Pourquoi le coin des râleurs ? Car quand je présente Mathieu, avec sa mine renfrognée, je dis bêtement (je ne devrais pas le faire) “mon ado râleur”, j’ai été surpris d’entendre bien souvent : “ah ben il va bien s’intégrer dans la communauté des coachs agiles”.

À quoi ça sert un product owner ?

C’était la première de School of PO. Le sujet était “À quoi ça sert un product owner ?”, grisé par les bulles de mon perrier, lors d’un repas avec Lucie et Dragos on décide de basculer vers un format à risque : le pecha kucha. Risqué mais aussi très rigolo, et surtout court (20 slides de 20 secondes soit 6mn40 montre en main sans avoir le droit de trébucher), ce qui allait parfaitement pour notre soirée.

La nouvelle philosophie du directeur financier

Avec Dragos et sous l’impulsion de l’un de nos prospects nous avons décidé d’organiser une journée dédiée aux CFO (aux DAF, Directeurs Financier) et à l’agilité : Agile CFO. Quand Bjarte Bogsnes affiche une liste d’une trentaine de logos d’entreprises qui se sont lancées dans cette nouvelle façon de penser le rôle de financier je ne vois aucune entreprise française, pourquoi pas la vôtre ? Pourquoi une journée destinée aux DAF/CFO ? Le constat demeure le même pour tous les métiers : l’accélération du temps, la mondialisation et son entrelacement d’informations, la complexité liée à tous ces critères vient bouleverser la façon d’appréhender le monde. Les financiers n’échappent pas à la question. Et soit ils sont ou seront de plus en plus remis en cause par les équipes qui les entourent, soit ils entament ou entameront par eux-mêmes les réflexions qui s’imposent.

Organisations vivantes : votre aide

Suite à une discussion tonitrutante avec des copains à une conférence récemment, nous avons décidé avec Bruno_de creuser l’idée d’une conférence, d’un propos, sur ce que nous aimerions que soit la culture de nos entreprises, et notamment de ses dirigeants car ils en sont le plus gros levier. Bruno a commencé à m’envoyer des liens sur des conférences et des conversations. En les voyant j’ai encore pensé à mon serpent de mer : Les organisations vivantes. Un texte, une consolidation d’une pensée que je pourchasse sans assez d’effort depuis trois années. C’est autant une consolidation de mes anciens propos ou d’idées jetées ici que certaines nouvelles choses. En relançant cette réflexion philosophique Bruno a rendu involontairement mais pour mon plus grand bien, ce stock, cette incapacité à finir, insupportable. C’est pourquoi je me suis dit que je devais en appeler à vous.

Atelier esprit d'équipe

Les semaines passent… et se ressemblent. La semaine dernière je vivais une journée dans l’ambiance Art Déco du Bœuf sur le toit. Cette semaine c’est une journée dans un cabinet d’avocats où des marbres et dorures magnifiques (probablement du XIXème me glisse Lahouari) donnent un allant à tous les ateliers mais m’interdisent d’accrocher quoi que ce soit aux murs… Objectif de la journée : bâtir un esprit d’équipe, du team building et idéalement repartir avec quelque chose pour le lundi suivant. Une vingtaine de personnes, plutôt dans le domaine du bizdev, de la finance et du juridique. On m’explique qu’il peut y avoir des acrimonies, des tensions, et avant toute chose qu’il faut ouvrir un espace de parole et rendre visible tous les actes et vandalismes non verbaux sous-jacents pour les atténuer. Je propose alors de me faire accompagner par Boris afin d’avoir une double voix : l’une orientée vers l’organisation, la facilitation, le management, et qui mènera le fil rouge de la journée, moi, et l’autre orientée dynamique individuelle et d’équipe qui opérera plus comme une voix off pour le groupe ou pour des personnalités, Boris donc, que je connais de longue date et avec qui je fais missions et conférences. Boris que nous faisons régulièrement intervenir chez beNext. Si la même personne mêle ces deux voix elle perd en intelligibilité.