Dialogue, poème et situation

C’est l’été, qu’est ce que j’ai dans ma besace ? Quelques scènes et dialogues vécus par moi-même ou d’autres, un poème qui m’a été adressé (si si). J’espère que cela vous donnera le sourire, comme ce fut le cas pour moi.

La motivation

Formation “agile” (quelle qu’elle soit), c’est le début de la formation, une introduction sur l’histoire de l’agilité. On passe en revue les différents principes. Et toujours, systématiquement, quelqu’un s’esclaffe, ou montre ostensiblement un sourire en coin.

(à mon tour d’arborer un grand, très grand, sourire en coin)

Génération agile

Celle là je la tiens de Claude Emond (@claudeemond), une de mes dealers d’idées en ce moment, j’espère qu’il ne m’en voudra pas de la raconter (je le préviens de ce pas). Claude donne des sessions pour des élèves. Les élèves sont passionnés mais dubitatifs :

Ce à quoi Claude répond :

J’adore.

Le prince de l’agile

Un poème, oui, j’ai reçu un poème d’un client, d’un copain, que je n’avais pas croisé de longue date. Naturellement il doit être très très proche du burnout :)

Voici donc ce qu’il m’écrit à la fin du printemps :

Sinon, Prince de l’Agile, ca sonne bien, non ? Pour te motiver à répondre, je t’ai fait une belle chanson, tiens:

Le sourire prompt et le laptop dell

Je m’en vais courir la gente ssi

Moult consultants n’ont pas ma fière allure

Je suis Pablo Pernot le prince de l’agile

Le prince de l’agile

Pour aller gagner glâner quelques story points

Je risque le burndown, en plein milieu d’un sprint

Mais je suis plutôt scrum donc ma force est tranquille

Mon coeur est serein et mon outil agile

Et mon outil agile…

Car je suis le prince de l’agile

Le priiiince de l’agile

Sauf si t’es Spiral ou Waterfail

Tu ne peux que m’aimer toujours

Il vous sera consenti le droit à m’appeler le prince de l’agile. ahah. Je risque de le trainer celui-là.

Dialogue suite à un ball point game

Pour finir un dialogue suite à un ball point game qui -sans que le sache- aurait pu tourner au drame. La personne croise son patron dans les couloirs suite à une journée de formation…je lui laisse la parole:

A peine arrivé, j’ai eu le plaisir de me faire alpaguer par mon boss, l’air mauvais :

Là, je commence à le voir venir…

Là, j’ai failli lui parler du national monument de Washington (5 pourquoi), mais vu son état, alors je me suis abstenu…

Voilà. Attention donc quand vous organisez vos ateliers agiles…