De la bonne contrainte
C’est naturellement en rédigeant l’édition II de Kanban avec Laurent Morrisseau que m’ait spontanément venu ce sujet sur la contrainte, sur la bonne contrainte. Cette pandémie de covid a été dramatique, mais en toutes choses malheur est bon elle nous a permis de mesurer l’intérêt de la contrainte. Contraintes par l’injonction de demeurer chez soi, les organisations ont développé leurs capacités de travail à distance. La contrainte a drastiquement réduit la variabilité de la réponse à la question : peut-on, sait-on, travailler à distance ? La contrainte a augmenté la prédictibilité : on allait vite savoir. On n’allait pas rester dans le flou.
Très petit guide agile sans jargon agile
Tim me relance pour une nouvelle question. Il aimerait pour son client une sorte de petit manuel rapide pour assimiler un accompagnement de projet agile. Je lui dis que ce guide de survie à l’agilité existe depuis 10 ans, et sa dernière révision date de 2017. Mais je réalise d’une part qu’il n’est pas si synthétique que cela, qu’il est bourré de fautes (shame), et qu’il utilise beaucoup de jargon agile. Je pense cependant qu’il est encore plus d’actualité aujourd’hui qu’il y a 10 ans vu les dérives auxquelles on assiste. Mais j’ai envie de me prêter à un double jeu : faire quelque chose de succinct, et sans jargon agile. Voici le très petit guide agile sans jargon agile.
Possibilités
Bonjour à tous, Cet article, ce message, sort un peu de mon ordinaire. J’arrive à la fin d’un cycle. Suite au rachat de benext, une phase classique de trois ans court pour les dirigeants après la vente de leur entreprise. J’arrive à la fin de cette phase, et donc je vais m’ouvrir à des possibilités. C’est-à-dire que je vais recommencer un autre cycle. Je vais vous raconter ce qui me passe dans la tête (rien que du très commun il me semble).
Professionnalisation agile
Dans les conférences auxquelles j’ai participé au printemps, un mot battait son plein : professionnalisation. Lassé de voir le succès marketing du mot agile le vider de son sens, lassé de voir une armée de débutants ravager des notions qui ont mis du temps à émerger, chacun y allait de son envie de protéger, de délimiter, de réaffirmer son métier dans l’agilité, qu’ils s’agissent des coachs, des devs, ou de n’importe quelle autre position.
UX designer, QA
Tim (c’est un pseudo, je prends celui de l’enchanteur dans Sacré Graal), Tim m’écrit : “Ça se fait de merger le rôle de UI designers et de QA ?”. Soit UI pour User Interface et moi j’ai mis UX dans mon titre, pour User experience, enfin QA pour Quality Assurance. Donc la question est : est-ce que quelqu’un qui a la responsabilité de l’interface utilisateur, toute l’apparence, (voire au-delà quand je reformule en parlant d’UX et donc de l’expérience), est-ce que cette personne peut aussi intervenir en aval pour valider que tout est OK (cela sous-entend notamment l’apparence).
Texte: La disparition
Voici un texte écrit à la suite de conférences à Niort, Toulouse et Lille (voir les vignettes là). Je voudrais remercier les gens qui m’ont fait des retours, notamment Rachel Dubois. Son retour était en même temps critique, encourageant et constructif, c’est ce qu’il me fallait. C’est la version 1.0, peut-être des aménagements et corrections verront le jour suite à vos retours. Voici le pdf. merci.
Changement de licence
Bonjour, ce jour je bascule tout mon contenu ancien et surtout tout nouveau contenu (et tout ce blog) d’une licence : https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/ à une licence https://creativecommons.org/licenses/by-nd/4.0/ . Cela veut dire qu’avant vous pouviez : Avant https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/ Partager - copier et redistribuer le matériel sur n’importe quel support ou dans n’importe quel format, à n’importe quelle fin, même commerciale. Adapter - remixer, transformer et développer le matériel à toutes fins, même commerciales. Mais vous deviez :